Généralités
Sous le contrôle du Directeur, le Chargé Etudes et Communication scientifique réalise le programme d’études, exploite les données produites et coordonne toutes les actions d’information, de communication et de sensibilisation. Il assure également la valorisation des résultats, apporte son expertise à différents projets et participe à la recherche de nouveaux partenariats.
Les candidats feront parvenir leur dossier de candidature (CV, photo, lettre de motivation), par email sous l’intitulé « Recrutement Scal-Air – nom du candidat », avant le 8 décembre 16h à l’adresse suivante : recrutement.scalair@gmail.com
La pollution de l'air est désormais considérée comme la première cause environnementale de mort prématurée dans le monde. Des résultats récents d'études de cohortes ont confirmé l'existence d'un risque de décès associé à l'exposition chronique aux particules fines (PM2.5) dans la population européenne et française. Ces nouveaux résultats épidémiologiques ont été couplés à un modèle à fine échelle de modélisation de la qualité de l'air pour évaluer l'impact des PM2.5 sur la mortalité en France continentale, pour la période 2007-2008. Plus de 48 000 décès par an pourraient être attribués aux PM2.5, dont plus de la moitié dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Si toutes les communes françaises respectaient la valeur recommandée par l'Organisation mondiale de la santé (10μg/m3), ce sont plus de 17 000 décès qui pourraient être évités chaque année en France. Le gain moyen en espérance de vie à 30 ans serait alors de 4 mois en France, mais pourrait atteindre plus d'un an dans les communes les plus polluées. Ces résultats confirment que des efforts poursuivant ceux mis en oeuvre jusqu'à présent pour améliorer la qualité de l'air se traduiraient par une diminution de la mortalité liée aux PM2.5.
L'olfaction est souvent considérée comme un sens uniquement limité à la simple reconnaissance des odeurs du monde extérieur. Elle permet tout au plus une qualification des éléments en les séparant en agréables (parfums) ou nauséabonds. Cette dernière appréciation devient vite, pour beaucoup, synonyme de dangereux, alors que les premières odeurs sont souvent considérées comme sans risque.
Qu'en est-il ?
Cette brochure explique d'où vient la pollution de l'air intérieur (tabagisme, produits de bricolage, humidité, produits ménagers, bougies parfumées, revêtements de sols, poils d'animaux, appareils à combustion, monoxyde de carbone, etc.) et en quoi nous sommes tous concernés. Il donne la marche à suivre pour réduire ce désagrément et donne des recommandations spécifiques pour les femmes enceintes et les nourrissons. Une page de contacts utiles figure à la fin.
L'équipe de Scal-Air vous présente sa nouvelle brochure d'information : Quel est le rôle de Scal'Air ? Comment fonctionne le réseau de surveillance de la qualité de l'air ? Où et comment s'informer sur la qualité de l'air que l'on respire ? Bonne lecture à tous !
ATMO France fédère le réseau des AASQA réparties sur l’ensemble du territoire français. A travers ses actions, elle poursuit un objectif d’intérêt général : contribuer, aux côtés des autres acteurs nationaux, à doter la France d'un dispositif qui assure tant la surveillance et la mesure de la qualité de l'air que l'évaluation des actions et politiques publiques visant à l'améliorer la pollution atmosphérique.
ATMO France encompasses the AASQA network which is spread throughout the French territory. Through its activities, it pursues a common interest goal : along with the other national actors, it wants to contribute to equipping France with a device that can monitor and measure air quality as well as evaluate the actions and public policies aimed at improving it!
L'air est un bien collectif précieux, mais son état suscite des inquiétudes, particulièrement dans les métropoles. Avec près de 42 000 décès prématurés chaque année, la pollution atmosphérique est le premier sujet de préoccupation environnementale des Français.
Nous passons 14 heures par jour en moyenne à notre domicile. L’air que nous y respirons n’est pas toujours de bonne qualité. En effet, les sources de pollution dans les logements sont nombreuses : tabagisme, moisissures, matériaux de construction, meubles, acariens, produits d’entretien, peintures... C’est ce que l’on appelle la pollution de l’air intérieur.